La Boutique d’Anaïs c’est la rencontre de deux causes qui me tiennent particulièrement à cœur : faire rayonner les entreprises d’ici et soutenir les jeunes de la DPJ.
Anaïs Favron
Porte-parole de la Fondation
Un achat responsable, de grands impacts
Chaque fois qu’elle en a l’occasion, Anaïs Favron se fait un devoir de mettre en lumière des créateurs d’ici.
L’idée lui est alors venue de rassembler au même endroit des marques québécoises originales et engagées, tout en offrant la possibilité de redonner à sa cause chouchou : les jeunes de la DPJ. De ce désir d’action est née La Boutique d’Anaïs.
En vous procurant l’un de ces produits, vous encouragez l’économie locale et redonnez au suivant en soutenant des jeunes en besoin de protection. Grâce à leur générosité, les entreprises qui participent à La Boutique d’Anaïs contribuent au mieux-être des jeunes de la DPJ qui reçoivent une aide via les programmes de la Fondation. Faire du bien n’aura jamais été aussi facile.
Bon magasinage !
La Boutique d’Anaïs
Chandelles Funky
Des fragrances pas plates, afin de créer des moments uniques.
Pour chacune des chandelles « Hiver » ou « Gâteau aux fruits » vendue, 13 $ sera remis à la Fondation .
Les Éditions Émotion
Nous avons comme mission d’éditer des outils pédagogiques qui favorisent la connaissance de soi, la relation humaine et la solidarité. Humains. Point.
Avec le code FJDPJ10, obtenez 10% de rabais. 10 % de la valeur nette de votre commande sera alors remis à la Fondation.
Raplapla
Raplapla fabrique tranquillement des jouets en tissu à Montréal. Notre hôpital répare des compagnons de chiffon de tout âge et toutes marques. Nous avons à coeur d’apporter de la joie et du réconfort aux enfants, et d’inspirer leurs parents à consommer moins et mieux.
Avec le code FONDATIONDPJ, obtenez 10% de rabais sur tous les articles Raplapla. 20 % de la valeur nette de votre commande sera alors remis à la Fondation.
Ocazou
Ocazou est un kit éducatif et préventif pour premières menstruations adaptés aux jeunes de 9ans+, il a été développé par une maman au Québec. Et si on abordait le sujet des premières menstruations sous une lumière positive?
